L’Association Tunisienne des chômeurs: Soit l'emploi, sinon les pendaisons!
L’Association Tunisienne des Chômeurs refuse les décisions du gouvernement concernant l’emploi. Le Président de l’Association, Seif Ammar Madeni, a déclaré, à ce propos, qu’une série de mouvements protestataires sera de mise. Et ce, pour exiger le droit à l’emploi.
" Il ne s’agit que de la poudre aux yeux pour venir à bout des protestations. Ainsi, nos mouvements protestataires sont encore de mise. Nos sit-in continuent. Aujourd’hui, on assiste à une nonchalance de la part du gouvernement en place. On n’a droit qu’à des promesses.
Une question s’impose alors : comment peut-on croire à des promesses qui viennent seulement suite à des protestations ? Pourquoi ces promesses n’ont pas été données depuis le début ? Donc nous avons décidé de poursuivre nos mouvements."
Aujourd’hui on opte pour l’escalade dans certains gouvernorats. Les mouvements de protestations vont avoir lieu aussi bien à Mehdia, à Sfax, qu’à Gabés et bien d’autres gouvernorats. Rappelons que ce sont des protestations pacifiques. Celles-ci préparent la manifestation nationale du 15 février courant", dit-il. "Ou bien l'emploi, ou bien les pendaisons", conclut-il
" Il ne s’agit que de la poudre aux yeux pour venir à bout des protestations. Ainsi, nos mouvements protestataires sont encore de mise. Nos sit-in continuent. Aujourd’hui, on assiste à une nonchalance de la part du gouvernement en place. On n’a droit qu’à des promesses.
Une question s’impose alors : comment peut-on croire à des promesses qui viennent seulement suite à des protestations ? Pourquoi ces promesses n’ont pas été données depuis le début ? Donc nous avons décidé de poursuivre nos mouvements."
Aujourd’hui on opte pour l’escalade dans certains gouvernorats. Les mouvements de protestations vont avoir lieu aussi bien à Mehdia, à Sfax, qu’à Gabés et bien d’autres gouvernorats. Rappelons que ce sont des protestations pacifiques. Celles-ci préparent la manifestation nationale du 15 février courant", dit-il. "Ou bien l'emploi, ou bien les pendaisons", conclut-il